Au carrefour des exigences écologiques et alimentaires, les bonnes pratiques sont un ensemble de règles qui permettent de protéger à la fois la santé des consommateurs et l’environnement. Elles impliquent la prise en compte de la gestion des terres et de l’eau, de l’épandage des fertilisants ou encore de la protection phytosanitaire.

L’utilisation des produits phytosanitaires génère des déchets de différentes natures, parmi lesquels les emballages vides (EVPP). Ces derniers sont répartis dans diverses catégories, dont les bidons de moins de 25 litres et les fûts en plastique ou en métal de 25 à 300 litres. Pour assurer le recyclage de ces déchets et la sécurité des personnes participant au traitement des cultures, il est important de respecter certains gestes.

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Comme les autres secteurs économiques, l’agriculture est une activité qui émet des gaz à effet de serre (GES), dont le dioxyde de carbone ou CO2. Les agriculteurs sont de plus en plus encouragés à effectuer un diagnostic carbone de leur exploitation afin de limiter les émissions carbone et de valoriser leur production. Une démarche d’autant plus salutaire que l’agriculture permet, notamment avec le stockage du carbone et les puits de carbone, de compenser largement ses émissions.

Construite en réaction aux conséquences néfastes de l’agriculture intensive et industrielle sur l’environnement, l’agroécologie promeut une consommation rationnelle des ressources, une culture diversifiée et la protection de la biodiversité. Elle repose sur des principes et des modes d’application spécifiques appelées bonnes pratiques agricoles.

Peut-être avez-vous déjà entendu parler de résidus lors des analyses de vos