Chaque année, la vigne a besoin d’être taillée afin de produire de bons raisins pour la production d’un vin de qualité. La taille n’est pas une étape complexe en soi, mais elle doit être menée au moment opportun et avec une méthodologie adaptée.

Le diagnostic environnemental est un outil d’aide aux agriculteurs pour l’identification et l’amélioration des principaux impacts de leurs activités sur l’environnement. Cette évaluation est axée sur les critères du paysage, du sol, de l’eau et de la biodiversité. Selon le guide de procédure niveau 1, il faut réaliser des points de contrôles dans les sous domaines « environnement », « santé des végétaux » et « bonnes conditions agricoles et environnementales (bcae) ».

En viticulture, l’utilisation du pulvérisateur et des produits phytosanitaires doit être raisonnée et calibrée au plus près des besoins pour privilégier une approche environnementale tout en protégeant la production. Pour une utilisation optimale du pulvérisateur, il est indispensable de se former et de connaître les bonnes pratiques de base. Il s’agit notamment du choix de l’appareil de traitement, des buses, des réglages, du débit et de la vitesse d’avancement, ou encore de l’emploi éventuel d’un adjuvant approprié pendant les traitements.

Le sol est un système très complexe constitué d’organismes vivants, d’éléments solides (minéraux et organiques), de liquides et de gaz. Sa destruction par l’érosion ou le travail de l’homme peut l’appauvrir et menacer sa production. D’où le besoin d’en prendre soin pour une agriculture productive et hautement durable.

Un grand bravo à nos certifiés de l’année 2020 !   Les formations

Les exigences en matière d’hygiène ont augmenté ces dernières années de manière exponentielle pour les agriculteurs en général, et pour les viticulteurs en particulier. Les exploitants doivent être capables d’optimiser les bonnes pratiques d’hygiène, qui portent sur toutes les étapes de production, de la plantation de la vigne à la mise en bouteille.

Pour réduire leur impact environnemental, optimiser leurs rendements et valoriser leur exploitation, les agriculteurs doivent mettre en œuvre de bonnes pratiques agricoles tout au long des étapes de production. Compte tenu du haut niveau de spécialisation que cela nécessite, ils ont besoin de se faire accompagner par des formateurs pouvant à la fois leur donner de l’information, et les aider à mettre concrètement cette information en œuvre dans le contexte de leur exploitation.

En viticulture, comme dans toute activité agricole, le respect des bonnes pratiques phytosanitaires (BPP) permet de réduire les risques pour l’utilisateur, l’environnement et plus tard pour le consommateur. Ces BPP sont nombreuses, mais nous en retenons ici les dix principales à mettre en œuvre dans une exploitation.

En agriculture, le travail du sol est une étape importante en raison de son effet sur la production future, en qualité et en quantité. Si l’on souhaite réussir cette opération, il faut prendre en compte quatre axes incontournables : la maîtrise technique, la connaissance des outils, la connaissance des parcelles et l’établissement de la culture.